VOILA DE QUOI RIRE ET S'AMUSER

5 Juin 2012, 09:00am

Publié par nosloisirs

Mlle Bébé a trois ans. Un jour elle dit à son père.

— Pourquoi ne quittes-tu pas ta barbe tous les soirs ?

— Quelle idée ! Fait le père étonné.

— Tu la remettrais le matin comme Bébé ; maman fait comme ça avec ses cheveux.

Mme Dubois lassée d'être battue , se décide à demander le divorce.

Le président du tribunal ente une réconciliation et conclut en disant à la dame qu'elle doit tout attendre du bon cœur de son mari.

— Oh ! Répond-elle, c'est un cœur qui bat trop fort.

C'est le modiste.

— Ce chapeau ne va pas avec la nuance de mes cheveux.

— Mais il coiffe si bien madame, que madame ferait mieux de changer de cheveux.

La réponse du potache :

Au collège un potache bâille sur un banc de la cour.

— Pourquoi ne joue-tu pas ?

— Pas si bête ! Si je m'amusais je trouverai la récréation trop courte.

Un médecin célèbre racontait ans un dîner mondain qu'il avait longtemps hésité, dans sa jeunesse, entre la peinture et l'art de guérir.

Comme on lui demandait pourquoi il avait choisi la médecine, il répondit froidement.

— Dans la peinture toutes les fautes restent exposés à la vue ; tandis que dans la médecine elles sont enterrées avec le malade.

On posait à M. Piot l'apôtre de la repopulation la question suivante :

— Quel est l'homme qui se trouve le plus satisfait, celui qui a un million ou celui qui a douze enfants.

— ?...

— Incontestablement le dernier car celui qui a un million en voudrait davantage, tandis que celui qui a douze enfants en a assez.

Dans une soirée mondaine, une vielle dame horrible à voir, dit à un jeune invité.

— Voulez-vous danser avec moi une valse à trois temps ?

— Pardon, madame, répond le jeune homme, la valse n'a qu'un temps.

En classe.

— Votre devoir sur le lait n'a que dix lignes ! Tous vos camarades en ont fait au moins deux pages.

— C'est que moi, monsieur, j'ai parlé du lait concentré.

Un Anglais dit à un Français :

— Vous les Français vous êtes trop bons mais de la bonté à la bêtise, il n'y a qu'un pas.

Et le Français de répondre :

— Oui, le pas de Calais.

Une dame veux acheter une tulipe.

— Cent francs, dit la fleuriste.

— Bon ! J'espère qu'il y a la racine!

— Certainement, madame. Pour cent francs vous avez la tulipe, la racine, le jardin dans lequel elle a poussé et la villa que ce jardin entoure.

La dame va aux courses avec son mari pour la première fois de sa vie. Il lui propose de jouer et lui laisse choisir le numéro du cheval.

— Eh bien disons le 5, c'est l'âge de notre fille, dit-elle.

Le monsieur jouer le 5 et le 5 gagne.

A la seconde course la dame dit :

— Si l'on rejouait le 5 ?

Le mari rejoue le 5, et le 5 et arrive encore premier.

A la troisième course il rejouent le 5 et naturellement il gagne.

Arrive la quatrième course, le monsieur se précipite pour miser une fois de plus sur le 5. mais sa femme le appelle en lui criant :

— Ah ! Non plus maintenant !... il doit commencer à être fatigué ce cheval...

Paul arrive la ferme.

— Je voudrais un litre de lait de vache, s'il vous plaît madame.

— Mais ton pot est trop petit, lui répond la fermière.

Paul réfléchit et dit :

— Ah ! Eh bien, donnez-moi du lait de chèvre.

A la suite d'un excès de vitesse, une jeune femme est convoquée devant le tribunal.

— C'est la faute de bon bébé explique-t-elle. Il était assis à côté de moi et il est tombé sur l'accélérateur.

Un médecin psychiatre conduit un de ses malades dans un asile dont il lui a vanté le calme et la tranquillité.

En entrant le malade voit le parc où se promènent de nombreux pensionnaires.

— Mais il y a un monde fou, s'exclame-t-il

— J'ai quelques ennuis d'argent actuellement, pourriez-vous me prêter 10 000 francs.

— Je suis désolé, mais je n'ai pas cette somme sur moi.

— Et... chez vous ?

— Tout le monde va ben, je vous remercie.

—

Dans la rue, un mendiant dit à une dame :

— Donnez-moi, s'il vous plaît une pièce de 20 francs. J'ai absolument besoin d'une pièce de 20 francs.

— Mais, mon pauvre ami, répond la dame, que voulez-vous faire avec une pièce de 20 francs.

— Moi ! Fait le mendiant, me peser !...

NE TOUCHEZ PAS AUX BILLETS DE BANQUE

ILS SONT PLEINS DE MICROBES... !

Un médecin célèbre interviewé au sujet des dangers que présentent les pièces des monnaie, les billes de banque et les cartes à jouer, a répondu par ces déclarations peu rassurantes.

« Certes la monnaie peut-être très dangereuse. Elle peut fort bien transmettre certaines maladies communes car les microbes y pullulent. Sur les pièces de billon, j'ai rencontré de 3 600 à 11 000 bactéries ; 1 600 à 3 500 sur les pièces d'or ; 450 à 2 100 sur les pièces d'argent.

« Microbes très variés d'ailleurs. Généralement ce sont ceux de la suppuration. Mais il y en a d'autres aussi dangereux ; celui du tétanos par exemple, et la tuberculose »

Il paraît que les billets de banque et les cartes à jouer présentent encore plus de danger encore.

Mais il y a un moyen très simple de s'en préserver ; ne jouer pas aux cartes et n'ayez pas de billets de banque. Le moyen est à la porte de tout le monde.

REVUE NOS LOISIRS DU 19 AVRIL 1908

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